
Un note de synthèse qui se base sur "Peut-on changer notre vision du monde ? de l'individualisme à l'individuation" de Jacques Perrin
Introduction
Une des premières conclusions à tirer des élections Européennes 2024, au delà de la peur qui gagne nos sociétés confrontées à de nombreuses incertitudes (dont de nombreuses guerres), c'est que l'enjeu climat a été délaissé par les électeurs Français mais aussi Européens. L'écologie comme solution au dérèglement climatique n'est donc plus une priorité ? L'écologie avec un volet social pour accompagner la transition, n'est donc plus la solution ?
Le périmètre de l'écologie politique Européenne se réduisant ainsi, l'écologie est donc surtout entre les mains du gouvernement Français, et des Français avec la dissolution de l'assemblée nationale. L'écologie gouvernementale des petits pas va t'elle devenir celle des petits écogestes des Français ? Allons nous réussir à nous adapter collectivement, durablement pour vivre sereinement ou la défense des intérêts individuels, dans une dynamique nationaliste, va prendre le pas au son des bottes ?
Les forces écologistes sont puissantes. Ensemble nous sommes une force immense. Une force qui s'est levée au moment de la crise des années 30. Justement au travers d'un réflexion de fond sur le libéralisme qui a donné naissance au néolibéralisme mais aussi sur le lien à la nature et le vivant. Il y a donc presque 100 ans !
Ce qui est instructif en se (re)plongeant dans l'histoire c'est que :
– les penseurs du néolibéralisme interprètent différemment les théories de l'évolution de Darwin pour guider leur réflexion sur les transitions
– leurs conceptions de l'individualisme les amène concevoir des façons d'être au monde différentes avec des conséquences politiques
– le néolibéralisme dit "relationnel" intègre déjà l'humain dans la trame du vivant, comme étant en relation constante avec son environnement, dépendant de lui pour vivre. C'est d'autres formes d'individualisme qui sont effectives depuis.
Pourquoi est il difficile encore aujourd'hui de se penser au coeur de la nature ? La principale explication de cet aveuglement doit être imputée à la vision du monde et au dualisme cartésien des philosophes et scientifiques des Lumières et de leurs adeptes qui ont été imprégnés par une image d'une impitoyable nature, « rouge de dents et de griffes » et dont il fallait s'extraire pour pouvoir fonder une société. Pour eux on ne pouvait le faire que grâce à notre pensée, à notre esprit, à notre raison. Il fallait fuir la nature ou la maîtriser.
Nous commençons à savoir aujourd'hui ce que le paradigme de l'écologie implique. Nous voyons bien que nous dépendons de la nourriture que nous mangeons, de l'air que nous respirons, l'alternance du jour et de la nuit. Il nous faut intégrer et assumer le fait que nous dépendons de toutes sortes d'aléas qui ne dépendent pas de nous. On croyait pouvoir maîtriser et voilà qu'il nous "faut faire avec".
L'humain est lui aussi soumis à la propension à vivre qui anime tous les vivants et aux contraintes de son environnement. Il est urgent d'abandonner notre conception occidentale de l'individu : un être autonome, auto-existant, indépendant. En concevant le sujet humain comme un être relationnel, qui déploie son désir d'exister en étant affecté par ce qui l'entoure.
C'est donc un combat de longue haleine qui est devant nous.
Un combat pour l'écologie qui passe par une mobilisation collective ces prochaines semaines, et par :
– des imaginaires du vivant qui nous donnent envie d'écologie
– une relation à la nature plus sensible qui donne la part belle aux émotions
– la prise de conscience de tous les freins qui limitent les changements de comportement
L'écologie populaire est la solution pour porter l'écologie avec les gens, les embraquer avec nous. Ayons confiance.
La question c'est qui va payer pour l'écologie si les citoyens consommateurs tournent le dos à l'écologie ? Mais nous avons une solution pour ca. Le business model de l'entreprise régénérative.
Nous vous invitons à nous rejoindre pour faire gagner l'écologie dans les organisations :
– Nous rejoindre sur whatsapp
– Assister à une master class du vivant
– Vivre une session découverte de nos ateliers
– Se former à nos ateliers pour les exploiter
Ou juste faire un don pour nous soutenir
Ci dessous un état des lieux de là ou nous en sommes pour vous aider à trouver votre place au sein de notre collectif d'indépendants. Une grande part du succès sera de nouer des partenariats avec les autres acteurs. Pour vivre aligné avec nos valeurs. PITCH ADHÉRENTS ET PARTENAIRES
Les enseignements des élections Européennes
Europe Ecologie Les Verts n’a pas réussi à occuper l’espace qu’ils occupent habituellement dans une campagne européenne qui a finalement été très peu sur les enjeux écologiques, en dehors de la crise agricole. Une campagne marquée par la montée de l'extrême droite en France comme en Europe.
En 2019, les marches climat s'étaient traduites dans des scores à deux chiffres grâce aux électeurs souhaitant un sursaut du politique face à ces enjeux, en particulier avec des mesures fortes mais aussi une transition financée pour aider les plus faibles qui sont souvent les premiers impactés par les dérèglements climatiques. Mais le score d'Europe Ecologie Les Verts de 2024 s'impose comme une critique de l'écologie politique portée par l'équipe de Marie Toussaint. Cette campagne, sans les autres forces de gauche, a très certainement échoué à positionner l'écologie comme une priorité environnementale mais aussi sociale, et bien sûr économique.
Pourtant il convient de saluer la campagne de Marie Toussaint. Une campagne apaisée, que certains qualifient déjà de "trop douce", qui n'a pas joué sur la peur pour convaincre sur l'urgence climatique. Ce faisant elle n'a pas contribué au climat anxiogène qui génère un repli individualiste, souvent anti Europe, mais n'a pas réussi à imposer le climat dans le débat. Peut être justement pour ne pas faire le lit de l'extrême droite qui joue sur les peurs et parce que sa conviction est que l'Europe fait partie de la solution. Avec par exemple, un Pacte Vert, le "green deal" certes imparfait, insuffisant mais qui a le mérite d'exister, et qui n'existera peut être plus bientôt faute de financements votés par les pays membres qui basculent vers une extrême droite anti écologie.
Au coeur de la campagne d'Europe Écologie les verts, il y avait donc un "Pacte vert x2" permettant d’engager les sommes nécessaires pour accélérer la transition, revivifier nos territoires, créer des millions d’emplois et garantir notre souveraineté. La première priorité selon Marie Toussaint, c'était d'adopter un Traité environnemental afin d’inscrire tout en haut des normes de l’Union européenne “une obligation générale de protection du climat et de non-dépassement des limites planétaires. Ce nouveau traité comprendrait un plafonnement des empreintes écologiques des Etats membres ainsi qu’un “système de protection sociale” pour lutter contre la pauvreté énergétique et la privation alimentaire". Il visait aussi à octroyer un statut juridique au “vivant” en donnant le droit aux écosystèmes de “pouvoir se renouveler à un rythme naturel”. La secrétaire générale d'Europe Ecologie Les verts, Marine Tondelier, a porté la voix de ceux qui n'en ont pas, les non humains à Marseille dans un discours incroyablement juste et émouvant. A écouter ICI.
Les partis de gauche, les anciens alliés de la NUPES comme la France Insoumise, ont bien sûr porté l'écologie avec conviction mais ont surtout insisté sur le fait que la responsabilité première est à imputer aux dirigeants néolibéraux Européens, en particulier à ceux de notre pays qui, en détruisant les emplois, les droits des salariés, les services publics renforcent les inégalités sociales et territoriales. Soulignant qu'il n’y avait pas de duel entre la droite et l’extrême droite, mais il s’agissait bien d’un "duo infernal" aux côtés duquel, le troisième acteur, à savoir, le capital, peut continuer à s’enrichir outrageusement.
Les penseurs du néolibéralisme interprètent différemment les théories de Darwin.
La pensée néolibérale a émergé suite à la Grande dépression des années 1930 pour en appeler aux artifices de l'Etat (droit, éducation, protection sociale) chargés de construire artificiellement le marché et d'assurer en permanence son arbitrage selon des règles loyales et non faussées. Se référant au cours de Michel Foucault sur le néolibéralisme, B. Stiegler nous avertit que le néolibéralisme ne doit pas être confondu avec le capitalisme financiarisé et l'ultralibéralisme qui pronent l'Etat minimal.
La nouvelle pensée néolibéraliste est explicitement dirigée contre le naturalisme du philosophe et sociologue anglais Herbert Spencer (1820-1903) qui juge que les lois de l'évolution sont censées assurer mécaniquement le passage à la société industrielle tout en sélectionnant les plus aptes. Il suffit de laisser faire la nature, ce qui implique de refuser toute intervention de l'Etat. Dans le champ politique, il faut donc laisser faire le capitalisme, laisser ses tendances naturelles s'exprimer, en faisant confiance à un processus d'auto régulation similaire à celle en jeu dans la nature. Ce qui ferait de lui un ultra libéral dans le monde d'aujourd'hui qui prônerait moins de cadre réglementaires pour plus de libertés, et donc moins d'état, voire pas d'Europe.
Pour nombre de ses contemporains progressistes, comme Lipmann, qui entendent justement combattre ces ultra-libéraux, la révolution industrielle a créé une situation de complète désadaptation, qui explique toutes les pathologies sociales et politiques de notre époque, et aggravée par le laisser-faire. Il retient de Darwin la théorie de l'adaptation des espèces à un environnement évolutif. Selon lui, il faut donc repenser l'action politique comme une intervention artificielle, continue et invasive sur l'espèce humaine en vue de la réadapter aux exigences de son nouvel environnement industriel post 1930. Il perçoit la vie donc les humains comme des acteurs passifs à accompagner face aux exigences ultimes de l'environnement. Les humains sont une entité dépositaire de droits naturels, de capacités d'action et de désirs, sans rapport avec un contexte social donné. L'adaptation s'imposant à eux à la façon d'une fin en soi de type métaphysique se soustrayant par principe, et pour cette raison même, à toute forme de discussion collective. Les critiques de Lippmann jugent qu'une classe d'experts est inévitablement tellement coupée des intérêts communs et qu'elle en devient une classe avec des intérêts privés qui n'est plus au service du bien commun, de l'intérêt de tous. Le diagnostic de Lippmann du désajustement de l'espèce humaine par rapport à la grande société industrielle, se retrouve dans les injonctions actuelles à rattraper nos retards, à accélérer nos rythmes, à sortir de l'immobilisme, à nous prémunir de tout ralentissement. Ce qui ferait de lui aujourd'hui un néolibéral de droite au service des acteurs économiques et sociaux qui doivent s'adapter à un environnement incertain qui dicte la stratégie à suivre sans besoin particulier de débats.
Son principal contradicteur est un certain Dewey qui pense que la solution est dans l'intelligence collective, une intelligence qui provient de l'expérimentation. Le but n'est pas suprême, le sujet essentiel c'est la survie de chacun (et non d'un supra entité à préserver). L'intelligence n'est pas supérieure, c'est la connaissance singulière que chacun développe en communauté dans son environnement particulier. Un environnement qui est source d'opportunités mais aussi de contraintes qu'il faut prendre en compte pour que chacun réalise son potentiel dans sa vie malgré des capacités inégales. Les travaux de Darwin lui permettent de donner un sens nouveau à l'adaptation et à la réadaptation de l'espèce humaine à son nouvel environnement industriel des années 30. Il adopte un point de vue biologique pour appréhender les travaux de Darwin, ce qui l'amène à considérer l'adaptation en termes d'interactions d'un organisme vivant avec son environnement, d'actions subies (undergoing) et d'actions faites. Il perçoit donc l'individu comme étant en interaction constante avec son environnement aussi bien la société que l'environnement et son évolution comme le fruit de ces échanges. Cette évolution sous contraintes sociales et économiques ferait de lui un socio libéral dans le monde d'aujourd'hui. En effet, selon Dewey, la démocratie signifie, d'une part que chaque individu assume les droits et les devoirs relatifs au contrôle des affaires sociales, et d'autre part que soient éliminées les dispositions en matière de statuts, de naissance de richesse, de sexe, etc. qui limitent les possibilités des individus d'accéder au plein développement d'eux-mêmes dans leur environnement.
Leurs conceptions de l'individualisme les amènent concevoir des façons d'être au monde différentes
Le néolibéralisme de Lippmann a été pensé à partir d'une représentation mentale de l'individu bien précise, l'individu est : « comme un atome », il est une unité déjà faite (ready-made) et isolée qui précède la société et ses interactions ». Ce néolibéralisme peut être caractérisé comme promouvant un individualisme atomiste. Cette représentation de l'individualisme amène à penser les échanges entre les individus en terme de concurrence pour les ressources de leur environnement commun.
Pour penser un nouveau libéralisme Dewey découvre à partir de la biologie une autre représentation mentale de l'individu : l'individu, comme tout organisme vivant, est tout au long de son existence, le produit des relations passives et actives qu'il entretient avec un environnement (humain et naturel) et au sein de différentes formes d'associations. Le nouveau libéralisme de Dewey peut être donc caractérisé comme promouvant un individualisme relationnel. Cette représentation de l'individualisme amène à penser les interactions sous le prisme de relations bénéfiques dans un environnement partagé avec d'autres êtres vivants.
Depuis l'époque de Dewey, c'est-à-dire depuis la première moitié du XXème siècle, les connaissances et notre compréhension de l'évolution du monde vivant ont progressé et confirment la démarche de Dewey. On a découvert que l'évolution est à la fois le résultat de relations de compétition et de coopération et que ces dernières jouent un rôle de plus en plus important en fonction de la complexité croissante des organismes vivants. Si nous voulons continuer à approfondir la démarche naturaliste de Dewey pour repenser le libéralisme et l'individualisme, il nous faut intégrer les nouvelles connaissances du monde vivant qui sont actuellement disponibles et notamment les processus de coopération et d'entraide.
Depuis quelques années, de nombreux travaux de recherche en biologie, mais aussi en éthologie, en anthropologie, en neurosciences révèlent que la coopération est un principe important de l'évolution et la construction du monde vivant, c'est-à-dire dans les processus d'individualisation des organismes vivants. Deux livres publiés en 2017 ont rendu compte d'une partie de ces recherches et ont essayé d'en retirer des enseignements pour l'organisation des sociétés: « L'entraide, l'autre loi de la jungle » des ingénieurs agronomes Pablo Servigne et Gauthier Chapelle, et « Jamais Seul, ces microbes qui construisent les plantes, les animaux et les civilisations », du microbiologiste Marc-André Selosse.
Dans son livre "La vie secrète des arbres" Peter Wohlleben explique pourquoi et comment les arbres coopèrent entre eux par leur réseau racinaire et leur michorhize (association symbiotique entre des champignons et des racines d'arbres). Au sein d'une même espèce et d'un même peuplement, ils échangent des éléments nutritifs notamment avec les arbres malades et les « parents arbres » veillent à la bonne santé de leurs rejetons. Ils s'échangent aussi des informations sur les insectes environnants ou sur la sécheresse du sol. Les arbres coopèrent aussi à partir d'un langage olfactif. Par exemple les acacias de la savane africaine mettent en place des stratégies collectives de défense.
Dans l'histoire de l'évolution, la coopération a été une source infinie d'innovations et le principal processus d'innovation est la symbiose : « se transformer au contact des autres ». Deux organismes peuvent fusionner pour former un nouvel être : exemples ci-dessus du lichen et des coraux. On a rappelé précédemment la symbiose microbienne qui a permis la création de cellules à noyau (animaux, plantes, champignons), la création des algues et des plantes grâce à l'incorporation de cyanobactéries par des cellules eucaryotes (ayant un noyau) mais on peut aussi citer l'émergence des mammifères placentaires grâce à un virus permettant la formation de syncytium (cellule à plusieurs noyaux). « La symbiose constituerait la plus grande source d'innovation de l'évolution. En tant qu'humain nous sommes en symbiogénèse avec nos bactéries (le microbiote), ensemble nous formons un organisme unique, nommé un holobiote, dont l'une des parties ne peut pas vivre sans l'autre. Il est remarquable de constater que les changements dans le génome de cette association peuvent provenir soit de l'hôte, soit du microbiote »". Notre capacité d'adaptation est en partie liée aux bactéries et aux virus qui nous habitent.
Inclure les vies humaines dans les grands enjeux de l'écologie
Pourquoi les scientifiques d'aujourd'hui n'ont pas vu plus tôt la coopération comme force principale dans le monde vivant ? La principale explication de cet aveuglement doit être imputée à la vision du monde et au dualisme cartésien des philosophes et scientifiques des Lumières et de leurs adeptes qui ont été imprégnés par une image d'une impitoyable nature, « rouge de dents et de griffes » et dont il fallait s'extraire pour pouvoir fonder une société. Pour eux on ne pouvait le faire que grâce à notre pensée, à notre esprit, à notre raison. Il fallait fuir la nature ou la maîtriser.
Pour fonder ses réflexions anthropologiques à partir de l'écologie, des sciences du vivant, Flahault s'inspire des travaux du philosophe Baruch Spinoza (1632 – 1677), qui est un des rares auteurs qui n'ont pas pensé le désir comme désir de quelque objet, mais plus fondamentalement comme désir d'exister. Il nous invite à reconsidérer ce que nous appelons notre intériorité: dans notre culture occidentale nous avons été habitués « à concevoir notre intériorité comme une substance auto-existante dont l'activité fondamentale consiste à penser et à connaître, et non à se maintenir en vie ».
Nous commençons à savoir aujourd'hui ce que le paradigme de l'écologie implique. Nous voyons bien que nous dépendons de la nourriture que nous mangeons, de l'air que nous respirons, l'alternance du jour et de la nuit. Il nous faut intégrer et assumer le fait que nous dépendons de toutes sortes d'aléas qui ne dépendent pas de nous. On croyait pouvoir maîtriser et voilà qu'il nous "faut faire avec". L'humain est lui aussi soumis à la propension à vivre qui anime tous les vivants et aux contraintes de son environnement. Il est urgent d'abandonner notre conception occidentale de l'individu : un être autonome, auto-existant, indépendant. En concevant le sujet humain comme un être relationnel, qui déploie son désir d'exister en étant affecté par ce qui l'entoure.
Cette anthropologie générale à l'âge de l'écologie que nous propose Flahault conduit à nous interroger sur le concept même d'individu puisque vivre est une activité qui implique d'interagir avec un milieu de vie. À cet égard, la distinction entre soi et non-soi n'a plus guère de sens, c'est pourquoi des biologistes en sont venus à penser que le concept d'individu est inadéquat, ou au moins insuffisant pour rendre compte du vivant. D'une écologie restreinte à la vie biologique, à la biodiversité, nous pouvons et nous devons passer à une écologie généralisée qui inclue les humains dans les grands enjeux de l'écologie.
RDV mardi et mercredi sur biomimexpo #noussommesvivants
Voila notre programme avec nous sommes vivants:
🦎 MARDI 11 JUIN à 16h : ATELIER FRESQUE DES IMAGINAIRES Bien sûr ! C'est vital. Alors venez lors de cet atelier recréer collectivement et de façon créative les imaginaires qui nous manquent et qui nous aideront à nous projeter vers demain, un autre demain. D'ailleurs, comme ça, spontanément, si vous deviez coller des images dans votre tête sur ce futur désirable, vous voyez quoi ? …
🐊 MERCREDI 12 JUIN à 10h PLÉNIÈRE DES TILLEULS Keynote de Jérémy qui vous invitera à rendre l'écologie désirable … Comment proposer – enfin – une approche positive et désirable de l’écologie et d’une nouvelle relation au monde et au futur ?
🐢 SUR LES DEUX JOURS : EXPOSANT dans le Village Biomim'expo 2024 Profitez-en pour venir retrouver l'équipe, discuter, découvrir les outils et solutions qu'ils proposent
En savoir plus sur la fresque des imaginaires https://lnkd.in/egdSY_r8
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Les imaginaires désirables par jérémy dumont #biomimexpo #n…
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