La leçon est bien comprise par les étudiants. Il faut savoir développer des compétences pratiques, aptes à produire une valeur ajoutée économique, ou même sociale et artistique, mais tangible plus ou moins rapidement.
Mais comment transmettre le savoir à l’ère numérique ? L’enseignement ne devrait-il pas prendre en compte les nouveaux usages des médias, les nouveaux modes de production de la connaissance ?
C’est un fait : un étudiant lambda écrit 50 emails, parfois très riches en contenus, pour environ 5 pages de dissertation formelle. Il lit des milliers de pages web pour quelques centaines de pages d’ouvrages classiques.
Comment toute cette production éparpillée pourrait-elle entrer en ligne de compte dans l’évaluation formelle des connaissances ?
Voici une vidéo collaborative, réalisée par les étudiants en Cultural Anthropology de l’université du Kansas (US). Elle est le fruit d’une étude réalisée par les étudiants eux-mêmes sur leurs pratiques.

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