NOUS SOMMES VIVANTS, LE COLLECTIF DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE

En ces périodes un peu troublées, les budgets études sont souvent parmi les premiers touchés.
Plutôt que de nous en affliger, regardons les choses avec pragmatisme,
soyons un peu imaginatifs et posons nous les bonnes questions ! Bien
souvent, les informations dont nous avons besoin sont à portée de main,
sans avoir à interroger de nouveau nos consommateurs ou utilisateurs.

En effet, entre ce qui est accessible – voire gratuitement accessible –
et ce que nous avons dans nos propres entreprises, bien rangé dans un
tiroir ou une base de données – mais que nous ne pensons pas à
exploiter -, beaucoup d'informations nécessaires sont disponibles.
Pour le reste, il suffit parfois de savoir observer, sortir de son
bureau, aller au devant de ses consommateurs – dans la vie réelle ou
virtuelle.
Sans nullement caricaturer, un bon directeur d'études doit pouvoir
économiser une part de son budget – et de son temps – en exploitant
efficacement l'existant, interne ou externe, avec éventuellement l'aide
d'un institut, et réserver le reste pour les véritables problématiques.
C'est-à-dire celles qui le plus souvent surgiront quand le travail
précédent aura été correctement effectué : car il y a des cas –
heureusement pour les instituts – où l'interrogation directe du
consommateur est nécessaire, indispensable, incontournable.
Parfois avec des techniques classiques et éprouvées. Parfois en innovant un peu.

Cette nouvelle Journée des études devrait vous permettre de réaliser de
substantielles – et obligatoires de nos jours – économies … mais
surtout de dégager le budget nécessaire pour approfondir. Surtout, elle
devrait vous permettre de vous poser les bonnes questions quant à la
valeur que vous donnez à vos études.

8h45 – 9h00 : Ouverture
Françoise Renaud, Directrice marketing et innovation – UDA
François Laurent, Co-Président – ADETEM

1ère partie
Comment enrichir ce que l'on sait du consommateur sans forcément avoir
besoin de l'interroger en permanence : de nouvelles pistes pour des
analyses de l'existant, l'enrichissement par des données en provenance
de sources "gratuites", le rôle de l'écoute du consommateur…

9h00 – 9h30 : Keynote speaker

9h30 – 10h00 : De l’importance de l’interprétation
Dominique Desjeux, Professeur – Université de Paris Sorbonne

10h00 – 10h30 : L'anthropologie, une lecture complémentaire et vivifiante
Emmanuelle Lallement, Docteur en anthropologie sociale et ethnologie, Maître de conférences au Celsa

10h30 – 11h00 : Pause

11h00 – 11h30 : Il y a des trésors qui dorment dans vos placards… !
Eric Lombard, Managing Partner – Numsight + cas client

11h30 – 12h00 : Comment relire l’existant ?
Thierry Vallaud, Responsable Data Mining et Décisionnel – Socio Logiciels + cas client

12h00 – 12h30 : Quid des sources gratuites ?

Véronique Mesguisch, Responsable Infothèque – PULV

12h30 – 13h00 : Le débat

13h00 – 14h30 : Pause déjeuner

2e partie : L’apport des autres disciplines pour enrichir l’analyse

14h30 – 15h00 : La pluridisciplinarité à la rescousse du quali
Jean-Claude Boulay, Qualitativiste, sémiologue, philosophe, psychosociologue, etc. + cas client 


15h00 – 15h30 : La sémiologie
Alyette Defrance (sous réserve)

3e partie : Le consommateur demeure indispensable à la compréhension des résultats

16h00 – 16h30 : Fanny Vielajus, Be OMG + cas client

16h30 – 17h00 : Pause

17h00 – 17h30 : Keynote Speaker
Stéphane Billet auteur de « Les Relations Publiques »

17h30 – 18h00 : Le débat