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Les humains dépendent des ecosystèmes naturels pour l'oxygène, l'eau, la nourriture, tous essentiels à la vie. Pourtant, notre exploitation des ressources naturelles est supérieure à la capacité de la nature à se renouveler (source).
J'ai créé Nous Sommes Vivants suite à l'appel de Baptiste Morizot "nous sommes le vivant qui se défend" parce que là où croît le danger croît aussi ce qui sauve. Comme il dit très justement, ce ne sont pas les humains en général qui détruisent le vivant, mais le mélange bizarre d’extractivisme (le stade frénétique de l’extraction des ressources), de productivisme, de culte de la croissance, de dévaluation du vivant, de fantasme du progrès technoscientifique, et tant d’autres flux encore, qui a profilé notre capacité de destruction du vivant sans précédent (source).
Que pouvons nous faire ? Il y a ceux qui pensent qu'il faut maintenir coute que coute la croissance économique et que des solutions existent pour ne plus dépendre de la nature.
Pour d'autres seule la décroissance des activités humaines est viable. Dans son livre Ralentir ou périr, Timothée Parrique nous projète dans le modèle économique post croissance qui adviendra après une phase de décroissance. Un modèle économique qu'il décrit comme stationnaire et en harmonie avec la nature, ou les décisions prises ensemble pour que les richesses soient équitablement partagées afin de pouvoir tous prospérer sans croissance (source). Il incite à construire une société régénérative à l'issue de la réinvention totale de notre modèle de société pour prospérer dans la post croissance (shéma).
Nous sommes vivants et notre mission c'est la régénération. Parce que nous vivons tous sur la même planète terre, prendre soin des êtres vivants dans leurs écosystèmes, c'est prendre soin de notre santé au sein de notre foyer. Ainsi ce qui compte n'est pas de savoir compter mais de savoir ce qui compte vraiment.
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