Dans l’article, joint en commentaire, on comprend qu’aujourd’hui on ne consomme plus pour satisfaire un besoin, satisfaire ses désirs, signifier son appartenant à un groupe, mais pour profiter au maximum. et surtout, ne jamais, au grand jamais, se poser de questions.
"L’homme-consommateur se considère comme devant-jouir, comme une entreprise de jouissance et de satisfaction. Comme devant-être heureux, amoureux, adulant/adulé, séduisant/séduit, participant, euphorique et dynamique. C’est le principe de maximisation de l’existence par multiplication des contacts, des relations, par usage intensif de signes, d’objets, par l’exploitation systématique de toutes les virtualités de jouissance".

Répondre à jeremy Annuler la réponse.